mardi 27 septembre 2011
mardi 20 septembre 2011
G7/Productivité : USA et France en tête
Les travailleurs américains et français sont les plus productifs des grands pays développés et ont continué de creuser l'écart en 2010 vis-à-vis de leurs concurrents, notamment du Royaume-Uni, selon des statistiques officielles publiées mardi à Londres. Dans son étude annuelle sur la productivité comparée des pays du G7, l'Office national des statistiques (ONS) a laissé inchangé son palmarès. Le Royaume-Uni reste en sixième position pour "la productivité par travailleur", seul le Japon étant derrière.
JDD
JDD
mardi 13 septembre 2011
Nouvelle poussée de la pauvreté aux Etats-Unis en 2010
Le taux de personnes vivant sous le seuil de pauvreté a continué à progresser en 2010 aux Etats-Unis, atteignant 15,1%, soit son plus haut niveau depuis 1993, a indiqué mardi le Bureau du recensement.
En termes absolus, 46,2 millions de personnes vivaient "dans la pauvreté" en 2010, ce qui constitue un record en 52 ans, ajoute cette émanation du gouvernement américain.
http://www.lepoint.fr/monde/nouvelle-poussee-de-la-pauvrete-aux-etats-unis-en-2010-13-09-2011-1372863_24.php
Suburban Ghetto: Poverty Rates Soar in Suburbia
For well over half a century, the American dream has typically centered on life in the suburbs. A move to the idyllic suburbs—picket fences, sidewalks, cul-de-sacs, the whole deal—has traditionally signified success, a move up the economic ladder. Lately, however, the ‘burbs host millions more residents living below the poverty level than do America’s “poor” inner cities, and poverty rates in suburbia are rising faster than any other residential setting.
According to the Brookings Institution’s recent analysis of Census data, poverty rates rose all over the U.S. during the recession era: From 2007 to 2010, poverty rates increased in 79 of the 100 largest metro areas, and median household income decreased in 82 of the 100 largest metro areas.
(...)
Read more: http://moneyland.time.com/2011/09/26/suburban-ghetto-poverty-rates-soar-in-suburbia/#ixzz1Z6EE1CLF
En termes absolus, 46,2 millions de personnes vivaient "dans la pauvreté" en 2010, ce qui constitue un record en 52 ans, ajoute cette émanation du gouvernement américain.
http://www.lepoint.fr/monde/nouvelle-poussee-de-la-pauvrete-aux-etats-unis-en-2010-13-09-2011-1372863_24.php
Suburban Ghetto: Poverty Rates Soar in Suburbia
For well over half a century, the American dream has typically centered on life in the suburbs. A move to the idyllic suburbs—picket fences, sidewalks, cul-de-sacs, the whole deal—has traditionally signified success, a move up the economic ladder. Lately, however, the ‘burbs host millions more residents living below the poverty level than do America’s “poor” inner cities, and poverty rates in suburbia are rising faster than any other residential setting.
According to the Brookings Institution’s recent analysis of Census data, poverty rates rose all over the U.S. during the recession era: From 2007 to 2010, poverty rates increased in 79 of the 100 largest metro areas, and median household income decreased in 82 of the 100 largest metro areas.
(...)
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mercredi 7 septembre 2011
L'Hexagone attire de plus en plus d'étudiants américains
La cote de la France progresse auprès des étudiants américains. En 2009-2010, 4.358 d'entre eux étaient inscrits dans un établissement d'enseignement supérieur de l'Hexagone, selon le ministère de l'Enseignement supérieur, soit une hausse de 16 %. La progression est particulièrement forte au niveau master (+ 124 %). Sans parler des inscrits en formations courtes (cours d'été, séjours linguistiques...). A elle seule, Sciences po, reconnue institution d'excellence outre-Atlantique, accueille ainsi 500 étudiants chaque année.
Dans l'ensemble, les établissements de l'Hexagone bénéficient d'une bonne réputation pour leurs formations en langues, littérature, sciences politiques et management. La culture française (arts, mode, gastronomie...) reste aussi un puissant facteur d'attractivité auprès des jeunes Américains. En revanche, ceux-ci, habitués à une large autonomie, peinent à s'adapter aux rigidités de notre système éducatif, note Egide, le centre français pour l'accueil et les échanges internationaux d'étudiants. Et, surtout, l'accueil et les conditions d'hébergement laissent encore à désirer.
Les Echos
Dans l'ensemble, les établissements de l'Hexagone bénéficient d'une bonne réputation pour leurs formations en langues, littérature, sciences politiques et management. La culture française (arts, mode, gastronomie...) reste aussi un puissant facteur d'attractivité auprès des jeunes Américains. En revanche, ceux-ci, habitués à une large autonomie, peinent à s'adapter aux rigidités de notre système éducatif, note Egide, le centre français pour l'accueil et les échanges internationaux d'étudiants. Et, surtout, l'accueil et les conditions d'hébergement laissent encore à désirer.
Les Echos
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